Eficium s’engage dans le Noble Art en signant un partenariat avec la jeune boxeuse en préparation pour les JO de 2024 !

Ses débuts dans la boxe anglaise, sa préparation, ses conseils, découvrez l’interview de cette jeune sportive de 20 ans, championne de France amateurs de boxe !

SG- J’ai suivi mon grand frère. J’ai commencé la boxe à l’âge de 7 ans en l’accompagnant à son premier cours d’initiation. On m’a proposé d’essayer et c’est à partir de là que tout a commencé.

SG- Je boxe actuellement dans la catégorie Poids plume des 57kg et suis invaincue en France. Parmi mes titres : 2ème place au championnat du Monde Jeunesse en 2021, 33ème place au Championnat du monde Femmes en 2022, 2ème place au championnat d’Europe U-22 et Championne de France amateurs de boxe en décembre 2022.

J’ai commencé la boxe à l’âge de 7 ans (…)

SG- L’alimentation est stricte. Les régimes sont importants. La privation peut-être parfois frustrante. Nous avons des bilans réguliers pour calculer notre IMC.

SG- Les boxeurs de l’équipe de France comme Moreno Fendero, Billel Bennama et Sofiane Oumiha. J’admire leur travail, la fluidité de leur déplacement et la puissance de leurs gestes. Ils sont une véritable source d’inspiration.

SG- J’ai 4 heures d’entrainement quotidien avec des test matchs certains week-ends. Il s’agit de simulations de combats et d’évaluations.

SG- Le nombre de sorties pour se tester face à d’autres pays va augmenter. Parmi les meilleurs : beaucoup d’européens comme les Italiens, la Grande Bretagne, les Irlandais, les Ouzbeks et particulièrement les Cubains. D’ailleurs les femmes cubaines viennent d’être autorisées à pratiquer la boxe anglaise. La boxe olympique est amateure. Il n’y a que la France qui a accepté d’accueillir les Pro en 2024.

SG- Je me concentre sur les JO de 2024 en France et ceux de 2028 aux Etats-Unis.

SG- Je n’appréhende pas les coups dans la boxe. Il faut les accepter. Chez les filles le casque est obligatoire. Jusqu’à présent je n’ai jamais eu de KO. Il y a plusieurs types de KO : commotion cérébrale, plexus et foie, et les KO blessures principalement à l’arcade et la bosse au niveau de l’œil. Avant de rentrer sur le ring, j’écoute de la musique et me concentre. Chacun a ses techniques.

SG- Oui. Quand on a le public avec soit, on est soutenu. Quand on a une baisse d’énergie, il y a l’équipe, le coach et le public pour nous porter. Lorsque je suis sur le ring, je suis également très attentive à tous les conseils de mon entraineur, il y a une véritable confiance. La boxe est un sport individuel mais reste également un sport d’équipe. On ne peut pas y arriver tout seul.

SG- Je dirais la détermination. Ne jamais lâcher. Dans un combat, il peut se passer tellement de choses en peu de temps. Il faut toujours avoir l’ambition d’y arriver ! Les préparations sont difficiles. Il faut être performant en cardio et musculation. La boxe est un sport assez complet. Il faut avoir confiance en soit, être bien entourée, être bien dans sa peau et avoir un objectif.

Ne jamais lâcher.
Dans un combat, il peut se passer tellement de choses en peu de temps.

SG- Avoir une médaille aux Jeux Olympiques.

Et bonne préparation !

Depuis quelques années, Eficium accompagne de jeunes sportifs : le golfeur Joël Stalter, le pilote automobile Valentin Hasse-Clot dans leurs carrières, et aujourd’hui la boxeuse, Sthélyne Grosy.

Pourquoi le choix de parrainages sportifs ? Pour le partage des valeurs de l’Humain et de l’Exemplarité communes à Eficium et pour le plaisir de faire (re)découvrir une discipline à nos collaborateurs et nos clients.